Cyrano, c’est un nez, un roc, un cap, une péninsule…, c’est une œuvre magistrale où se bousculent mille personnages à qui tout metteur en scène rêve de donner vie ! Pour toute une troupe, pour tout un théâtre, l’instant est venu de tirer l’épée, retrousser la moustache et de partir à l’assaut ! Monter, interpréter, jouer « Cyrano », c’est le verbe haut, des envolées, du drame, de l’action, de l’amour... l’esprit et le panache !

L’esprit et le courage, à défaut d’un physique avantageux, c’est ce que possède en abondance Cyrano de Bergerac. C’est aussi ce qui manque au baron Christian de Neuvillette, avec qui la nature s’est montrée plutôt généreuse pour conquérir la belle Roxane dont il est amoureux. Cyrano aussi aime la belle précieuse, mais quand il apprend que Roxane a succombé au charme de Christian, et que les deux amoureux ont besoin de son aide pour être heureux, il se résout à mettre son don pour les mots au service de cet amour.

Monter, interpréter, jouer « Cyrano »… Simplement pour le plaisir et la beauté du geste et puis, comme il le dit lui-même, parce que « c’est bien plus beau lorsque c’est inutile » … Et dans Cyrano, Olivier Massart !

« Olivier Massart avec le costume (et le nez) de Cyrano, beaucoup en rêvaient. Et le comédien a assuré, avec fougue. Le panache nécessaire au rôle, il l’a. L’humour et les épaules aussi, c’est évident… Rideau. Et "standing ovation". » - A. Nizet, LE SOIR
 
« Une mise en scène que Michel Kacenelenbogen maitrise à merveille » « La Langue flamboyante de Rostand caresse l’oreille et touche le cœur pour nous emmener en sa partition, son univers symphonique et ses tourments. » L. Bertels, LA LIBRE BELGIQUE
 
« Sur un décor magnifique à deux étages, l’action prend de la hauteur sur un texte d’auteur. Michel Kacenelenbogen nous offre beaucoup. »C. Flament, L’AVENIR