Max a grandi à côté de ses parents assistant impuissant à leur séparation ; malheureux sous sa couette, perturbé à l’école, mal partout... Malgré tout, Max, 13 ans, a découvert la thérapie par le rire. Il a trouvé dans le piano un monde extraordinaire qui lui a permis de s’évader... Et de rencontrer des tas de gens formidables : Audrey Hepburn, Jack Lemmon, une diva noire, Glen Gould, Chopin,... Avec tous il a parlé de la vie, de serments, de loyauté, de femmes. Il aurait aussi bien voulu en parler avec son père Olivier mais Olivier n’a pas le temps, il doit trouver une femme, il a quarante-neuf ans et le temps presse.
« Tragicomédie musicale, mélopéra ? », comment appelle-t-on en français un spectacle d’infinie tendresse qui réunit un père et son fils autour du piano, du chant... de la ligne d’un sein et du galbe d’une hanche ? Un adulte, un enfant, un piano et deux guitares... Une soirée particulièrement recommandée aux familles, toutes les familles : les familles composées, les décomposées, les recomposées, les papas divorcés, les fistons délurés... Et les autres.
« ‘Un jour j’irai à New York’ avec toi ose offrir un vrai rôle à un garçon de 13 ans : Elie Belvaux. Aux côtés d’Olivier Darimont, le jeune et étonnant comédien compose une tendre relation père-fils et questionne en passant le difficile métier de parent. » (C. Makereel, Le Soir, Décembre 2008)