Autant vous le dire tout de suite, Marka n’a pas toujours été Marka ! Alors pour découvrir le vrai Marka, celui que vous n’avez encore jamais vu, le chanteur reprend le cours de sa vie et nous la raconte sur le ton de la confidence. Chaque soir, au hasard, il puise dans le stock de ses petites histoires personnelles : il déballe ses souvenirs d’enfant bruxellois, sa découverte des punks dans Hit Magazine et sur les bancs de l’école, le premier album envoyé à la presse avec des pralines, les vendanges tardives avec Dutronc, le premier disque d’or avec « Allez allez »… Le tout, la guitare sèche en bandoulière et l’humour en sautoir !

Avec autodérision, tendresse et drôlerie, de Serge à Marka, le chanteur ouvre son cœur sans artifices ni fioritures et nous raconte son parcours personnel entre anecdotes croustillantes, chansons de son répertoire ou succulents inédits. Le charme opère et l’intimité se crée, en toute simplicité. Et quand l’émotion pointe ou qu’une larme naît au coin de son œil, très vite, Marka se reprend !

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« On fait tout un plat de Stromae mais Marka cristallise lui aussi cet indéfinissable mélange de gouaille et de mélancolie, de poésie surréaliste, et surtout d’autodérision que nous envie le monde aujourd’hui. Le chanteur - qui fait ici ses premiers pas de comédien - révèle une présence chaleureuse, décontractée et bourrée d’humour, tant et si bien qu’on soupçonne sa compagne, l’humoriste Laurence Bibot, de lui avoir refilé quelques tuyaux. Disons juste que Marka qui se met à nu comme ça, c’est la classe, totale ! » (Le Soir)
 

« A 52 ans, le "ket" de Molenbeek fait le point sur une carrière riche en rebondissements, il se raconte sous la forme d’un seul en scène musical, à la fois drôle, émouvant et original. A mi-chemin entre le stand up et le concert (secondé par son fidèle ami Aldo Granato à l’accordéon et Antoine Rotthier à la batterie) la sauce prend dès les premières minutes. Ce mix est audacieux et culoté. La mise en scène de Patricia Ide est à la fois sobre et efficace. » (RTBF Culture)

 

« Avec l’accent savoureux d’un Bruxellois de Molenbeek, il évoque les règles des caïds du quartier, les écoles à ne pas fréquenter et celle dans laquelle il aurait dû rester. Il évoque sa découverte du mouvement punk, sa rencontre avec le Grand Jojo et son désir de réussir qui lui permet de monter en France, début des années 1990. Car on le sent très fort, Marka croit en lui, et nous aussi, durant toute cette joyeuse prestation. Plus qu’un concert, il s’agit d’un stand-up, et le chanteur laisse beaucoup de place à l’homme. On peut donc aimer sans connaître et se régaler des nombreuses allusions aux périodes révolues, celles d’ « Allez Allez », des « trainings » et de « Hit Magazine ». Un voyage dans le passé parfumé aux essences cosmopolites de Molenbeek, des anecdotes croustillantes, un goût de nostalgie, une indicible envie d’y arriver qui passe par l’envoi de chocolats Leonidas aux producteurs français pour soutenir sa cassette, et des échecs, comme ce concert en concurrence avec l’arrivée du tour de France dans une maison de repos. » (Demandez le programme )

 

« Dès son arrivée sur scène, Marka, qui a depuis longtemps prouvé qu’il sait draguer un public, accroche immédiatement l’intérêt des spectateurs et ne les lâche plus… Avec une tchatche qui cite, à la fois, Quick & Flupke et Grand Jojo, il retrace son enfance à Molenbeek et la mythologie du quartier : les cafés, le cyclisme, sa bobonne, son père, sa mère, la boxe, le foot, les voisins… En cours de route, les anecdotes se multiplient et reflètent l’idée fixe de ce garçon sur la musique. Comment il a enquiquiné la terre entière (surtout à Bruxelles et à Paris) pour signer des contrats et enregistrer des disques… Comment il a chanté partout (y compris dans les maisons de retraite). Les fans vont adorer, les autres vont découvrir un mec qui sait raconter des histoires. » (Moustique)